Dans le réel, comme dans VAT, la remise de gaz est à l’initiative du pilote ou de l’ATC et la fréquence est celle avec laquelle tu communiques au moment du GA.
Je vais faire simple :
A l’initiative de l’ATC si par exemple la piste n’est pas dégagée quand le N°2 arrive en finale (voir la réglementation spécifique). C’est le cas le plus rare en raison de l’excellente efficacité des contrôleurs.
A l’initiative du pilote (c’est le plus fréquent) en cas de problème mécanique, de windshear ou rafales dangereuses, aux minima si l’on ne voit pas la piste (CAT I), non stabilisé en configuration atterrissage.
Il ne faut jamais tenter un atterrissage si l’on est pas stabilisé et en particulier ne jamais essayer d’intercepter un glide par-dessus. Il est préférable de consommer quelques Kg de petrol en plus plutôt que de mettre tout le monde par terre. A part quelques compagnies « pourries » je n’ai jamais entendu de réflexion d’une direction à ce sujet.
La remise de gaz est beaucoup plus courante que tu ne le penses, surtout pour raison MTO.
Bonne nuit
JP
